Overblog
Editer l'article Suivre ce blog Administration + Créer mon blog
4 avril 2016 1 04 /04 /avril /2016 22:56
Marathon de Paris 2016 : aux mêmes causes les mêmes effets = replay de 2015 !

Lorsque je me suis inscrite à ce marathon de Paris sitôt les pré-inscriptions lancées il y a déjà un an, c'était pour prendre une revanche avec le chrono que je venais donc de réaliser en Avril 2015 qui était de 3h43. A l'époque j'avais prévu de le courir  en mode "sortie longue" sans forcer, à une allure qui devait rentrer dans le cadre de ma préparation pour les Comrades (89 km en Afrique du Sud, prévus en Mai). Mais ces 42,195 km furent pénibles physiquement à cause d'une douleur récurrente à l'insertion de mon iscio gauche (arrière de la cuisse, dans le pli de la fesse) malgré la fête partagée avec Fred ...

 

Marathon de Paris 2016 : aux mêmes causes les mêmes effets = replay de 2015 !

Un mois plus tard patatras sur le macadam "adieu veaux vaches cochons poulets" et surtout Comrades, tout ça à cause d'une jambe qui ne se lève plus assez haut pour franchir un trottoir ...

Un an de kiné qui aura tout essayé, une injection plaquettaire qui m'aura couté un bras mais pas rendu ma jambe, style de chaussures changé en revenant chez Asics avec un drop plus conséquent (12 mn au lieu de 3 chez Hoka), renouvellement de mes semelles orthopédiques, rdv chez le dentiste afin de corriger une légère bascule de la machoire, consulté plusieurs ostéos et résultat 12 mois plus tard : j'en suis toujours au même point... 

 

Heureusement dans mon "malheur", il n'y a que lorsque je cours que cette douleur est pénible, et lorsque je suis assise. Je vis donc debout !

Non je rigole, enfin pas tout à fait ... habituée à varier les plaisirs sportifs depuis 2011 en m'adonnant au triathlon, j'ai décidé de m'y consacrer plus sérieusement depuis la saison dernière en allégeant le nombre de mes sorties de course à pied afin de privilégier la natation et le vélo.

 

Tant que cette fichue tendinite ne sera pas guérie (et je réponds directement à tous ceux qui me diront :"t'as essayé le REPOS ???" : OUI !!! deux mois entiers sans courir de Mai à Juin 2015 inclus, contrainte et forcée suite à ma chute et la douleur a redoublé de rester assise des heures durant dans mon canapé !!!) impossible pour moi d'allonger un peu ma foulée et donc de retrouver une allure de croisière de 11 km/h qui me permettait il y a seulement 20 mois de courir un 100 km en un peu plus de 9h ...

 

Toute cette introduction pour en venir au fait que lorsque j'ai commencé ma préparation spécifique marathon débutée mi janvier (sur 3 mois), j'ai tout de suite compris que je n'allais pas vraiment pouvoir "envoyer" sur les séances dites de qualité (VMA et seuil). J'ai essayé pourtant, je n'en ai zappé aucune, mais impossible de fractionner au delà de 12 km/h au lieu de 15 comme avant ... Il n'y a peut-être pas que la tendinite d'ailleurs sur ce coup là, peut-être aussi le gros bouleversement hormonal qui précède la ménaupose définitive ? ... 

Bref je suis lente, je me traîne, et n'ai plus vraiment de plaisir à courir dans ces conditions. Heureusement que je bois un peu moins la tasse qu'avant à la piscine et que je m'éclate sur mon nouveau vélo !!! 

Marathon de Paris 2016 : aux mêmes causes les mêmes effets = replay de 2015 !

Un mois avant le marathon, participation "obligée" au Semi de Paris permettant de vérifier si mes prédictions pessimistes sont fiables car impossible de m'entraîner au delà de 10,5 km/h de moyenne dans le meilleur des cas depuis mi Janvier ... Je me rends donc à Vincennes sereine et très curieuse de découvrir ce que "l'effet dossard" aura sur moi ce jour là. A mon plus grand étonnement j'arrive à maintenir une vitesse de 11,8 km/h sur ces 21 km, mais non sans douleur. Je termine en 1h47, ouf, dégats limités !

Marathon de Paris 2016 : aux mêmes causes les mêmes effets = replay de 2015 !

15 jours plus tard nouvelle course avec mon club de triathlon (Triathlon Sannois Franconville), dans le Val d'Oise à la Frette sur Seine : "Les Boucles de l'Eau". Il s'agit d'un 25 km auquel j'ai déjà participé deux fois, remportant même l'épreuve chez les féminines en 2011 (1h57). Nous ne sommes que 200 participants dont une trentaine du TSF et j'ai tant de plaisir à faire partie de ce groupe que je ne fréquente quasiment jamais, que je me fais un devoir de ne pas faiblir lorsque j'ai à nouveau l'impression qu'on me poignarde la fesse gauche à 10 km de l'arrivée. Chrono de 2h05 à 11,6 km/h. Mais je n'aurais pas pu courir un mètre de plus. 

Marathon de Paris 2016 : aux mêmes causes les mêmes effets = replay de 2015 !

(Peut-être aussi faut-il préciser qu'avant de prendre le départ nous nous étions "échauffés" sur le circuit à vélo en roulant un peu plus de 2h pour 70km pour ma part ? ...)

 

Le jour J approche. La semaine précédente j'allège un peu le programme dans les 3 disiciplines, sans toutefois n'en supprimer aucune, contrairement aux conseils glanés ici et là. Mais je n'ai plus que pour seul but de profiter de la fête qu'offre ce marathon à proximité de chez moi, et m'offrir une belle longue sortie avec plus de 41.000 coureurs !

Je prévois de courir entre 11,3 et 11,5 km/h pour un chrono final avoisinant les 3h45 si ma douleur à l'iscio ne devient pas trop vive. Dans le cas contraire j'espère de tout coeur ne pas être obligée de marcher sur les 15 derniers km et ainsi terminer quand même sous les 4h ...

 

 

 

Le jeudi précédant le départ je passe au salon du running à la Porte de Versailles récupérer mon dossard. Mon rdv annuel préféré !!! A chaque fois j'y grille ma CB ... mais j'y retrouve aussi quelques  amis avec plaisir et notamment la "bande à Chauchau" des meneurs d'allure. Tous les noms des inscrits s'affichent sur un mur gigantesque (plus de 50.000 !). J'y ai un homonyme.

 

Marathon de Paris 2016 : aux mêmes causes les mêmes effets = replay de 2015 !Marathon de Paris 2016 : aux mêmes causes les mêmes effets = replay de 2015 !

 

 

 

La veille je pars sur Paris, rue de Charenton, afin de déposer un bidon rempli de boisson énergétique à la hauteur du 20ème km, juste avant le ravitaillement officiel. Je le cache dans un sac plastique et fourre le tout dans un bosquet au milieu de divers déchets d'un petit carré de verdure d'une placette. Si je peux gagner de précieuses minutes demain en n'étant pas obligée de m'arrêter au ravitaillement afin de remplir ma gourde et de mélanger mon sachet de poudre énergétique avant le semi ce sera déjà ça de gagné ! 

 

t'as pas vu mon bidon ?

t'as pas vu mon bidon ?

L'après-midi se passera tranquillement à me reposer tout en zappant frénétiquement sur différents sites météo afin de connaître précisemment ce que le ciel nous réservera demain matin après une semaine bien arrosée et plutôt fraiche en ce début de Printemps.

Tous s'accordent pour des températures ultra clémentes auxquelles nous les franciliens ne sommes plus du tout habitués, mais certains annoncent un ciel bien gris alors que d'autres prédisent le soleil.

Marathon de Paris 2016 : aux mêmes causes les mêmes effets = replay de 2015 !

Du coup mes deux seules préoccupations de la soirée sont de savoir exactement quelle sera ma tenue pour demain en dehors de la trifonction de mon club que je voudrais tester sur cette distance, et si je réussirai à entendre mon réveil à l'aube ... C'est dur la vie parfois !

Jour J. Mon copain Philippe du VMT (Vallée de Montmorency Triathlon) passe me chercher à 6h45. 

Dieu que je déteste me lever aussi tôt !!! Heureusement que je suis en vacances ...

Je suis totalement sereine bien que pas encore très réveillée ... Direction Neuilly où nous laissons sa voiture avant de regagner la Place Foch en métro.

L'amitié légendaire entre le TSF et le VMT !!!

L'amitié légendaire entre le TSF et le VMT !!!

Notre ami Fred est déjà sur place et nous attend devant les consignes. Il y a encore peu de monde et les vigiles chargés de nous faire ouvrir nos sacs à l'entrée et de nous passer le détecteur des métaux sont déjà dans la panade !

 

Je dépose mon sac en gardant sur moi une veste que je jetterai au moment du départ. Il fait gris mais doux. Je me sens prête et suis toujours aussi sereine.

Fred est un peu plus nerveux : il faut dire qu'il s'est entraîné comme un damné afin de se rapprocher le plus possible de son record sur la distance ici même il y a deux ans et qui était de 2h47 !

Nous préférons laisser Philippe qui n'est pas pressé de déposer ses affaires et dont le départ n'est prévu qu'à 9h20, et nous trottinons en parallèle des Champs afin de remonter jusqu'à nos sas respectifs. Fred se dirige vers les "préférentiels" dont le départ doit être donné à 8h45, et moi dans celui des "3h30" où je dois retrouver les copains du TSF.

Je suis dans les premières, quasi devant. Le monde s'agglutine au fur et à mesure. Je ne retrouve personne. Alors je me hisse le long d'une barrière et de là j'aperçois quelques coureurs avec une visière. C'est la coutume chez les triathlètes de porter une visière plutôt qu'une casquette, mais ne me demandez pas pourquoi : no idea !

Je me faufile tant bien que mal à travers les concurrents afin de rejoindre ce groupe en espérant que ce soit le mien. Un saumon nageant à contre courant ! Bingo, ce sont bien les copains du club. Ambiance bon enfant : à part Pascal  qui s'est entraîné pour courir en 3h30, les autres sont en mode "sortie longue" afin de préparer leur Ironman à Franckfort en juillet prochain et ont décidé de servir de meneurs d'allure pour notre cher président.

Le TSF est dans la place !!!

Le TSF est dans la place !!!

Notre sas part finalement à 9h10. Dés la ligne de départ franchie je vois les copains s'éloigner devant moi sur une allure trop rapide pour moi et ce que j'avais prévu, et je ne fais pas l'erreur de tenter de vouloir les suivre. Le soleil a fait son apparition et je suis ravie d'avoir opté pour ma seule trifonction car sinon j'aurais crevé de chaud ! Donc je cours solo.

Les autres années il y en a toujours quelqu'un qui papote avec moi mais aujourd'hui non. Ca m'arrange : dés que je parle en courant j'attrape un point de côté. Le premier meneur des "3h30" me double avec son groupe. Normal. Je suis sur la base des 3h45 et comme d'habitude, mon rythme est ultra régulier. Je n'ai mis sur ma montre ni chrono, ni distance (pas la peine : chaque km est indiqué par un panneau), seulement ma vitesse : je dois courir à 11,5 km/h  de moyenne.

Marathon de Paris 2016 : aux mêmes causes les mêmes effets = replay de 2015 !
Marathon de Paris 2016 : aux mêmes causes les mêmes effets = replay de 2015 !

Premier ravitaillement à la Bastille. Il y en a tous les 5km et ils sont indiqués 200m avant par des panneaux indiquant s'ils seront situés à gauche ou à droite de la chaussée. Habituée à courir en auto-suffisance je n'ai pas l'intention de m'y arrêter. Je prévois de courir du côté opposé des tables afin de ne pas être bousculée par tous ceux qui coupent le passage ou qui s'arrêtent net afin de faire le plein.

Je ne sais pas si c'est une bonne idée car du coup je suis du côté des poubelles du tri sélectif chargée de récupérer les bouteilles ... et là je remercie ma mère de m'avoir transmis ses gènes de petite taille car les coureurs balancent à tout va leur bouteille vide en visant plus ou moins bien les poubelles et je manque de m'en prendre une en pleine tronche à plusieurs reprises !

Donc à ces passages, je garde une oeil en l'air et un autre au sol afin de ne pas glisser sur une peau de banane non plus !!! Du coup je zigzague encore plus que d'habitude.

Marathon de Paris 2016 : aux mêmes causes les mêmes effets = replay de 2015 !

 

 

En ce milieu de matinée la route est encore mouillée des pluies nocturnes, et du coup la température ultra douce accentue la sensation d'humidité = le ressenti de la chaleur est encore plus fort.

Mais au 10 km je pète encore la forme !

Marathon de Paris 2016 : aux mêmes causes les mêmes effets = replay de 2015 !

10ème, 15ème, je cours maintenant dans la rue de Charenton et le 20ème km approche. Je reconnais les enseignes qui précède la petite place où j'ai abandonné mon bidon la veille. Première difficulté imprévue : l'organisation a fait courir une rubalise le long des trottoirs afin de canaliser le public. Je dois passer par dessous, me faufiler entre les personnes pour rejoindre le carré de verdure repéré hier. Deuxième mauvaise surprise : ce petit carré est nickel ! Plus un papier sale, plus rien, il a été nettoyé par les services municipaux, et plus de bidon non plus !!! 

Je repasse sous la rubalise et rejoins le flot des coureurs, j'ai du perdre deux minutes . Du coup je suis obligée de m'arrêter au ravitaillement afin d'ouvrir mon sachet de poudre énergétique, et de le mélanger avec l'eau à profusion sur les tables. Je ne perds pas plus de temps que l'année dernière puisque je m'étais ravitaillée dans les mêmes conditions.

Le problème c'est que cet arrêt se situe juste au pied d'une belle côte, et que pour repartir à bon rythme dans ces conditions ça le fait pas du tout !!!

Je regarde ma montre : sur ce coup là ma vitesse moyenne est tombée d'un km/h. Je tente d'accélerer un peu mais je ne veux pas me griller non plus. Il me faudra quasi 5km pour regagner les minutes perdues.

passage du semi

passage du semi

25ème km. Il y a 15 jours à cette allure j'étais déjà HS, alors je redoute ce passage... mais tout va bien. Je suis portée par l'ambiance, par le public et par tous les groupes de musique postés le long du parcours.

Et puis de l'autre côté de la Seine, les cloches de Notre Dame sonnent à tout rompre !!!

mon moment préféré sur ce parcours : les quais !

mon moment préféré sur ce parcours : les quais !

Marathon de Paris 2016 : aux mêmes causes les mêmes effets = replay de 2015 !

Au 30ème les choses sérieuses commencent : "plus que 12 km" cette pensée me permet de positiver, je me refuse à me dire "encore 12 km !". 

Mon iscio ne se fait pas oublier, mais n'est pas trop génant. Non, ce qui me cause souci ce sont mes quadriceps. Ils commencent à tirer sérieusement ! Je redoute la crampe, celle qui cloue sur place même les plus valeureux ...

Je n'ai pas souvenir d'avoir jamais souffert de mes quadriceps en course contrairement à des sorties bien "rentre dedans" à vélo, mais là ...

Je pense que cela est du aux multiples petits pas chassés que je dois fairs dans les portions plus étroites lorsque je dois doubler les plus lents, ou les marcheurs.

30 ème km : cherchez Nini ...30 ème km : cherchez Nini ...

30 ème km : cherchez Nini ...

Le mur du 32ème je connais pas et je n'ai jamais connu. Grâce à ma stratégie de boire régulèrement ma boisson énergétique toutes les 10 mn sans doute. Ce n'est pas le cas de tout le monde ... je double à tout va les victimes de la chaleur qui règne sur Paris ce dimanche. Ne boire qu'aux ravitaillements, qui arrive pour la grande majorité toutes les demi heures, est insuffisant. Et même si l'organisation a prévu quelques jets d'eau ici ou là afin de rafraîchir le peloton, les organismes sont déshydratés, et lorsqu'on s'en rend compte le mal est déjà fait.

J'essaye de ne pas focaliser mon attention sur mes quadris mais l'inquiétude me guette ...

Heureusement peu après le 35 ème, j'aperçois sur le bas côté un coureur du TSF qui trottine. Il me voit et m'attend : il s'agit de Gérard. Il m'explique que Pascal est en pleine déroute, et que du coup il a préféré courir un peu plus vite pour ensuite les attendre au ravitaillement. Mais ne voyant rien venir il décide de continuer avec moi. Chouette ! Le fait de pouvoir bavarder un petit peu me vide l'esprit et j'arrive grâce à lui maintenir mon allure que je sentais faiblir.

Marathon de Paris 2016 : aux mêmes causes les mêmes effets = replay de 2015 !

Je n'aurais peut-être pas du porter ces chaussettes neuves achetées il y a trois jours au Running Expo, juste parce que leur couleur s'accordait bien avec la couleur de ma trifonction ... lol . Je sens des ampoules dans chacune de mes chaussures se former ! Allez, il ne reste plus beaucoup de km, je dois faire abstraction de la gêne qui s'installe et qui se transforme vite en petite douleur ... Ma foulée s'en ressent et je cours maintenant totalement désarticulée .

Bois de BoulogneBois de Boulogne

Bois de Boulogne

Je parle beaucoup moins du coup ! J'ai hâte d'en terminer maintenant. 

40ème km, un coureur craque à côté de moi, reprochant aux gentils bénévoles chargés du dernier ravitaillement de ne pas avoir assez prévu de postes le long du parcours ! "Et man, t'avais qu'à prévoir une gourde d'appoint en plus ! "

Il y a un peu plus de monde dans le Bois de Boulogne cette année, et 40ème anniversaire de l'épreuve oblige, des groupes de tambours sont parsemés du 40ème km au 42 ème ce qui me booste bien pour en terminer enfin. 

La Porte Dauphine, dernier virage noir de monde et enfin l'arrivée se profile sur l'avenue Foch. Encore 200 mètres ! J'allonge un peu ma foulée, toutes mes douleurs sont oubliées et je franchis enfin la ligne d'arrivée en 3h43 ... EXACTEMENT le même chrono que l'année dernière !!!

 

 

Marathon de Paris 2016 : aux mêmes causes les mêmes effets = replay de 2015 !
Marathon de Paris 2016 : aux mêmes causes les mêmes effets = replay de 2015 !

Fred qui a bouclé son marathon en 2h54 a déjà eu le temps de récupérer son sac et de se changer afin de m'acceuillir sur la ligne d'arrivée .

Je n'oublie pas de remercier Gérard pour son aide sur les 7 derniers kilomètres. J'attends un peu pour voir si j'arrive à voir les arrivées de Pascal et de Philippe mais il y a de plus en plus de monde et je les loupe.

Je vais chercher ma médaille et mon tee-shirt de "finisher" et Fred me raccompagne sur Neuilly afin d'attendre Philippe (qui en aura terminé en un peu plus de 4h).

 

 

Marathon de Paris 2016 : aux mêmes causes les mêmes effets = replay de 2015 !

Encore une bien belle édition cette année !!!

Du coup 3 jours plus tard je me réinscrivais déjà pour celle de 2017 !!!

Marathon de Paris 2016 : aux mêmes causes les mêmes effets = replay de 2015 !

Je garde le meilleur pour la fin ... âmes sensibles s'abstenir !

D'ici là j'aurai soigné mes pieds et mon iscio j'espère !!!

A l'arrivée ...

A l'arrivée ...

Partager cet article
Repost0

commentaires